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Création : 06/05/2011 à 07:16 Mise à jour : 05/12/2017 à 17:39

I am a dreamer ♥

Journal de rêves.

Journal de rêves.
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Lorsqu'on rêve, l'on se sent transporté autre part. Le rêve est un voyage dont on ne connait ni la destination, ni la durée. Le rêve est une aventure ou tout peut arriver. On se sent plonger dans une autre vie, dans un autre monde. Le rêve est le reflet de se que l'on n'ose pas révéler, de se que l'on n'ose parfois pas se révéler. Le rêve est aussi un remake de notre propre vie. Dans l'univers du rêve, tout est possible. L'impossible n'est que réel ; le rêve permet de réaliser ce qu'il ne nous arrivera jamais dans la réalité. L'imagination joue un rôle important dans le rêve : elle est maître de notre vie nocturne, maître de notre monde utopique, maître de notre destin onirique. Nous avons tous un endroit ou l'on peut se réfugier quand le monde extérieur nous agresse  Il suffit de rêver... Rêver d'une vie meilleur, d'un monde parfait, d'un autre scénario des choses qui nous sont arrivées. Parfois sans fermer les yeux, le rêve est présent. Rêve et rêve.
Journal de rêves.

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#Posté le vendredi 10 juin 2011 15:13

Modifié le mardi 23 août 2016 07:31

dream number six.

dream number six. 
♪
 
» Je trouve que le paysage, par cette immense baie vitrée, est magnifique. Depuis là on à une vue surprenante sur toute la ville, c'est surprenant ! « Le musée va fermer, c'est la nuit ! », nous annonce la guide en passant de salle en salle. Je me retourne. La pièce dans laquelle je me trouve est très spacieuse, autant en largeur qu'en hauteur. Elle est presque entièrement remplie par un grand matelas de mousse moelleuse où je n'hésite pas à me jeter. « 'Tain ce que j'ai envie de dormir là ! », dis-je à Rico-chan en m'enfonçant dans la mousse. « Un autre jour, on fera des portes ouvertes la nuit, mais ce soir ils vous faut sortir ! ». La guide était derrière nous, debout sur une sorte de mezzanine qui surplombait l'immense matelas de mousse. A contrec½ur, je sorti de la pièce pour emprunter un couloir humide. Ce dernier ne desservait que deux pièces. Je décida alors d'entrer dans la première. « Un ancien temple... », chuchotais-je. Les murs étaient fait de vieilles pierres humides et la lumière provenait de petites bougies posées au sol. Au fond de la pièce était installé un rideau qui ne servait à rien, ainsi que plusieurs coussins aux tissus orientaux afin de s'asseoir. A côté de ceux ci était dessiné un cercle avec de grosses pierres... Rico-chan était là. N'ayant aucune envie de m'aventurer dans cette pièce, ma curiosité me poussa à visiter la deuxième. Identique. La deuxième salle était identique en tout points à la première. Pourtant, ce n'était pas Rico-chan qui était là, mais sa soeur. Hisa était près du cercle en pierres. Le cercle de pierres. Un sentiment étrange m'envahit. Je retourna dans la première pièce afin de voir si Rico-chan allait bien. Quelque chose me disait qu'elle n'allait pas bien. Ce quelque chose m'avait bien dit. Un pied à l'intérieur du cercle, Rico-chan me regardait. « Je suis coincée, j'ai... » un cri perçant l'interrompit. Mon nom résonnait dans le couloir. Mon coeur s'emballa. Je couru jusqu'à l'autre pièce. Hisa avait un pied dans le cercle, elle me regardait, des larmes roulant sur ses joues : « je suis coincée... Je... » « Ca va aller..., ça va aller ! » la coupais-je. Je couru jusqu'à la première salle : Rico-chan tentait de se délivrer du piège dont elle était prisonnière : en vain. Je couru à la deuxième salle : Hisa en faisait de même. « Va vers ma soeur, me dit cette dernière, va vers elle, je sais ce qu'il va se passer. ». Suivant son ordre, je me rendis de nouveau dans la pièce où ce trouvait Rico-chan, et entrepris de l'aider à sortir son pied du cercle. Peu après, des pas résonnèrent dernière nous : Hisa était là, une chaîne attachée au pied, tenant l'extrémité de cette dernière à la main. « Viens. Prends le bout de la chaîne. ». J'obéis. J'avais l'impression qu'elle comprenait mieux que moi la situation. « Tu vois cette baie vitrée ? ». L'immense baie vitrée du musée avait remplacé l'un des murs en vieilles pierres de la pièce. J'opigna la tête. « On va sauter, et quand on sera dans les airs, tu appuieras sur ce bouton, continua-t-elle. ». Elle me montra un bouton rouge, présent au bout de la chaîne qu'elle tenait à la main. « Une fois que tu auras appuyé sur ce bouton, tout explosera. Rico-chan sera libérée ! ». J'hésitais. Comment faire une telle chose ? C'était dingue, c'était du suicide ! « Fais moi confiance ! » s'écria-t-elle en voyant mon doute. Elle me donna le bout de la chaîne. « Quand tu veux. ». Est ce que je le voulais ? Est ce que je le... Je sauta, entraînant Hisa avec moi. Sans réfléchir, mon pouce enfonça le bouton. Terrible explosion. •
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#Posté le dimanche 01 janvier 2012 16:13

Modifié le mardi 23 août 2016 07:32

Dream number five.

Dream number five.
♪
 
» Ma toute première leçon de conduite, de nuit, sur une route mouillée, et qui plus est recouverte de bretzels ? Je dis non ! A peine nous retournons dans son bureau, afin qu'elle m'explique, avec l'aide d'une maquette miniature de la scène, mes erreurs, que je me met à vagabonder dans mes pensées. J'hoche la tête quand elle me regarde, ça fait plus convainquant. Enfin, l'heure de la fin du cours sonne, et je me précipite hors du bureau. Une fois dehors, j'ai vieillis. Je passe à côté de deux clochards qui se disputent bruyamment : l'un d'eux à une trace noir sur la joue et il accuse l'autre d'en être responsable. Evidemment, ce second le nie. Ma monitrice arrive par derrière et commence à m'expliquer qu'ils ont été chassés de son bureau par des pirates. Je me retrouve, et vois les pirates en question. Elle continue en me racontant que, jadis, ils vivaient à l'étage, au dessus de son bureau, et habitaient dans une armoire. Pof, téléportation ! Je me retrouve avec elle à l'endroit cité. Après s'être lamenté sur son sort et m'avoir raconté sa vie d'avant -lorsqu'elle habitait dans son armoire-, madame s'en va. Je me retrouve de nouveau seule ; nouveau bond dans le temps : cette fois ci je suis une enfant. Un des deux clochards, lui aussi rajeunit, entre dans la pièce et m'offre une pile immense de magazines de fleurs... Mais ma monitrice, déridée par son retour en jeunesse, elle aussi, arrive sauvagement dans la pièce. Mon instinct de survie prend le dessus, je me met à me battre avec elle. Tant bien que mal, monitrice-junior tente de prendre le contrôle sur moi, mais rien à faire, je suis trop forte pour elle et la domine largement. Amusée de le tournure que prennent les choses, je m'assoie sur elle et rigole sadiquement en lui tenant les mains. D'un geste rapide, j'attrape une seringue qui traînait par là et lui enfonce dans le poignet. •
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#Posté le vendredi 20 janvier 2012 15:30

Modifié le mardi 23 août 2016 07:32

Réécriture de rêves n°1.

Réécriture de rêves n°1.

♪

» Je n'eu qu'à jeter un coup d'oeil par la fenêtre pour comprendre la situation. Le ciel était empli de nuages noirs. Menaçants, des éclairs en sortaient sans cesse. Une minute plus tard j'étais sur le palier, prête à sortir. L'ascenseur étant occupé, j'ôta mes tongues et me mis a dévaler les dix étages de l'immeuble. Chaleur étouffante, oppressante, pesante. J'ouvris la porte d'entrée et un courant d'air en profita pour s'engouffrer dans le hall. Mes cheveux tournoyaient autour de mon visage, je les rassembla en queue de cheval d'un geste nerveux. Un coup d'oeil en direction du ciel et je compris que je n'avais que quelques minutes tout au plus avant que la pluie ne commence à tomber. Je pris une grande respiration, puis, toujours pieds nus, me mis à courir. Courir pour fuir les nuages menaçants qui me suivaient. Courir pour arriver sèche chez moi. Malheureusement, courir ne suffit pas pour semer les nuages, car eux vont trop vite. Un éclair traversa le ciel et presque immédiatement le tonnerre éclata. L'orage était juste au dessus de moi. La pluie, elle, ne donna pas de signal : elle s'abattit subitement, violente, forte. Courir ne servait plus à rien, pourtant, malgré l'épuisement, je me mis à courir plus vite. J'étais presque arrivée chez moi, quelques mètres, que je parcouru rapidement, me séparaient de la porte d'entrée. J'entra alors dans le petit château qui était ma demeure. Les escaliers en vieux bois grincèrent lorsque je les gravît pour rejoindre ma chambre. Derrière moi, les gouttes d'eau que je semais laissaient une trace. J'essora mes cheveux d'un mouvement rapide, dans le couloir. Une petite flaque se forma sur le vieux parquet, mais ça m'était égal. J'étais seule, le temps que quelqu'un revienne chez moi, la flaque aurait bien le temps de sécher. J'entra ensuite dans ma chambre. Comme d'habitude, cette odeur si spécial qui caractérise les anciennes demeures longtemps fermées me sauta au nez. Vieille tapisserie, vieux meubles, vieux tissus. Ma chambre datait du siècle dernier. Une ampoule nue diffusait une lumière jaunie. Tout en avançant vers la fenêtre, j'enlevais mes habits, si bien qu'arrivée devant cette dernière je ne portais plus que mes sous-vêtements. Par la fenêtre, il n'y avait rien, juste du gris. Rien que la couleur grise, floutée, mouillée, en mouvement, du gris qui bougeait, qui s'agitait comme la tempête. Uniquement du gris. J'étais devant la fenêtre mais pourtant je ne regardais pas à travers. Mon attention était portée sur l'araignée qui était pendue entre la vitre et le rideau. Une grosse araignée, terrifiante mais pourtant qui me facsinait. Celle ci descendit lentement de sa toile pour s'approcher de ma peau nue. Je ne bougea pas, ma respiration était figée. Flash. Je vois dans ma cave, je vois sous le vieux parquet, je vois dans l'obscurité. Je vois cette chose, cette chose qui me voit depuis si longtemps. Je ne sais pas ce que c'est, je ne peux pas la décrire. Elle est petite mais ancienne, elle se cache ici depuis des siècles, elle est liée à cet ancien château. Je la voie sans la voir, je sais qui elle est sans la connaitre entièrement. Mes informations son confuses et l'araignée à disparue. Je me dirige vers le palier. De l'étage, là où je suis, je vois le sol du rez de chaussé. Je sais que la chose est en dessous, à cet endroit. Je sens sa présence. Un éclair illumine l'intérieur de la maison, le tonnerre éclate presque simultanément. La lumière de l'ampoule électrique vacille, pour ensuite s'éteindre définitivement. Le silence est pesant, si bien que je n'ose ni bouger, ni respirer. Debout, dans le noir, serrant la balustrade de l'escalier à m'en faire jaunir les mains, j'attend. L'attente n'est pas longue. Sans éclair, dans l'obscurité un bruit tonitruant retenti. Il provient du rez de chaussé. C'est elle. •
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#Posté le lundi 14 mai 2012 19:00

Modifié le mardi 23 août 2016 07:32

Dream Number Four.

Dream Number Four. 
♪
 
» Ma meilleure amie et moi sommes noyées dans la foule. Au milieu de la salle de concert dans laquelle nous nous trouvons, nous dansons au rythme de la musique. Sur scène, ce soir, ce sont les LMFAO qui se produisent ! Mais pourtant nous sortons de la salle avant la fin du concert : le père de ma meilleure amie nous attend. Nous montons dans la voiture pour nous arrêter plus loin, sur une place. Mon petit frère ainsi que ma mère sont là. « C'est déjà finit ? », demande cette dernière. Je lâche un simple "Non", tandis que le père de ma copine justifie : « C'était presque la fin ! ». Ma meilleure amie s'emporte alors : « De toute façon je ne comprend pas pourquoi on est partis ! ». Énervé, son père rallume le moteur et nous ramène devant la salle de concert. Cette fois, celui-ci est bien finit, mais nous voulons voir les stars de près. Les organisateurs installent une table et sans nous concerter nous nous mettons à courir vers celle ci : une séance d'autographes va avoir lieue ! Malheureusement, nous ne sommes pas du bon côté, et voilà que la file d'attente est déjà longue. Dépitée, nous nous apprêtons à rejoindre la fin de la queue, quand je m'aperçois que la tête de la première personne de la file ne m'est pas inconnue, et pour cause : c'est mon père ! Celui-ci est d'ailleurs en train de déclarer qu'il s'en fiche des autographes, qu'il veut juste sortir de la salle. Pendant qu'il explique cela à l'une des organisatrices je m'approche de lui et lance : « C'est mon père, je prend sa place ! ». L'organisatrice approuve d'un hochement de tête puis se désintéresse de nous tandis que ma meilleure amie me rejoins. Quelques secondes plus tard, les LMFAO arrivent et nous nous approchons d'eux d'un pas assuré. Mon amie se met à leur parler Franglish comme si elle les avait toujours connue. Redfoo sort de sous la table des petits papiers que nous croyons tout d'abord vierges, pour nous signer un autographe. Or ils se rélèvent être des calendriers de poches. Au dos de ceux-ci Redfoo nous montre qu'on peut écrire notre emploie-du-temps, et tient à l'écrire pour nous. Pendant que ma copine essaie en vain de lui expliquer que nous sommes en vacances, et donc que nous n'avons pas d'emploie-du-temps, je m'intéresse à ce que fais Skyblue. Il est concentré à taper sur le clavier de sa calculette de poche. Il s'arrête subitement pour me regarder. Me regarder le regarder. Puis tourne la calculette pour me planter le résultat de ses calculs devant les yeux. Je m'étonne alors : « Eukééé, et j'en fais quoi de ça ?! ». Ma meilleure amie attrape alors la calculette et se plonge dans le calcul pour tenter de le comprendre. Je me dirige alors vers Redfoo, et, timidement, lui demande de m'écrire quelque chose sur le bras. Ce dernier s'empare alors d'un stylo rouge puis me trace une longue ligne sur le bras, en me regardant dans les yeux, d'un air de psychopathe. Réveil soudain - puis rêve lucide. •
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#Posté le mercredi 28 décembre 2011 16:30

Modifié le mardi 23 août 2016 07:32

Dream Number Three.

Dream Number Three.
♪
 
» L'arène romaine dans laquelle je me trouve avec mon équipe est un mélange de stade de foot et de terrain de tennis. De l'autre côté du filet l'on peut apercevoir notre adversaire, malgré le manque de luminosité de cette nuit sans lune. Vêtue d'une longue robe bouffante à la mode du temps de Louis XIV, c'est Rihana qui joue contre nous. D'ailleurs, elle gagne. Et à tous les coups. Les points s'additionnent rapidement pour la chanteuse, tandis que notre équipe n'arrive pas à faire passer la balle de l'autre côté du filet. Attentive à la robe que porte notre adversaire, je remarque que sous les froufrous qui frottent le sol du terrain se cachent des dizaines de petits lapins au pelage blanc. J'en fais immédiatement la remarque à mes coéquipiers qui trouvent ça aussi injuste que moi : Rihana à recours à la tricherie ! Énervée, je m'empresse d'en faire la remarque haut et fort. L'arbitre décide alors de changer notre équipe adverse et mes camarades et moi récoltons les regards fusillant de la star. Triomphante et soulagée de changer d'adversaire, je m'accorde une pause et cours m'asseoir au bord du terrain : au prochain match on aura peut-être une chance de gagner ! Mais ma bonne humeur repart bien vite... Les organisateurs, agacés, s'empressent de changer la déco du filet en y accrochant se qui me semble être du matériel de torture. Affolée, je vais pour me lever et aller voir ça de plus près lorsque notre nouvelle équipe adverse fait son entrée. Des monstres, que des monstres. C'est une équipe de monstres ! Sans réfléchir je me pelote contre l'un de mes coéquipier, apeurée. L'un est rouge et visqueux, un autre bleu et ressemble a un escargot. Ils forment une bande assez comique, mais pourtant, dans ce contexte ils ne le sont pas. L'un d'entre eux annonce, d'une voix rauque : « Celui qui fera perdre un point à son équipe sera éliminé. Puis torturé ! ». L'arbitre annonce que les nouvelles règles sont validées et que le jeu peut à présent commencer. Je suis terrorisée et refuse de me lever, agrippée à mon coéquipier. Le match débute sans que nous ayons le temps de rejoindre notre terrain. Maladroit, le monstre-escargot perd le contrôle de la balle et fait perdre un point à son équipe. Alors, le grand rouge se met à tempêter : « Tu auras le temps de te reposer dans ta cage, mollusque, au lieu de te reposer sur le terrain ! ». Je regarde le garçon contre lequel je suis toujours blottis et je lui dis que je n'ai pas envie d'y aller, qu'on va perdre comme tous les matchs précédents ! Il tente de me rassurer en me serrant dans ses bras mais m'annonce que, malheureusement, il nous faut rejoindre les autres sur le terrain. Horrifiée à l'idée de faire perdre un point à mon équipe, je tente de résister à mon coéquipier qui me tire le bras pour aller sur le terrain. Break, j'ai un coup de réveil : il me faut reprendre ce rêve en main. Rêve lucide (?). Je suis blottis contre ce même garçon, la scène du monstre qui se fait éliminer repasse devant nos yeux, mais cette fois je n'y prête pas attention. Je me lève courageusement, tâte la pierre qui nous enferme dans cette arène, enfonce l'une d'elle et ouvre un passage secret. Je passe dedans avec mon coéquipier puis lui explique le plan que je viens d'avoir. Je pars dans mes pensées et envoie un message télépathique à mon équipe qui le reçoit sans problème. J'ouvre alors un portail entre les dimensions à côté de nous tandis que mon camarade en ouvre un sur le terrain. Nous nous y engouffrons à toute vitesse puis refermons ces portails avant qu'un des monstres n'y entre. Le monde où nous avons atterris est blanc, entièrement blanc. Je crée grâce à mon imagination une maison toute simple, y entre puis imagine un salon réconfortant qui apparaît alors devant nous. Je compose également des chambres confortable, puis finis par la salle de bain qui accueil une immense piscine ! J'y plonge et mon équipe me rejoint. Oubliant nos mésaventures, nous chahutons dans l'eau. •
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#Posté le dimanche 22 mai 2011 14:06

Modifié le mardi 23 août 2016 07:32

Dream Number Two.

Dream Number Two.
 
♪
» Descendre de la voiture puis courir pour être le moins mouillé par la pluie battante. Il fait nuit, la lumière ne provient qu'uniquement de la lune. Pleine, la lune.  Heureusement, la route est en pente, ce qui fait que nous nous retrouvons bien vite en bas de la rue. Là se trouve une fosse, comme si un obus s'était auparavant crashé ici. Cette forme insolite, au milieu de la route, nous attire. Lentement, nous descendons dans ce sombre trou. Lentement, lentement. Jusqu'à ce que la pieuvre sorte du fond. Ces tentacules se balancent, volent et s'écrasent. De l'eau monte des profondeurs, la paroi de la fosse devient glissante. L'affreuse bête gesticule, furieuse d'avoir été dérangée dans son antre. J'évite de justesse une tentacule visqueuse qui tournoyais de mon côté. Paniquée, je fais de mon mieux pour remonter à la surface. Nous y arrivons enfin, après maintes man½uvres. Le calme de la nuit revient presque immédiatement. Nous continuons notre chemin, suivant la route qui part en direction de se qui nous semble être une rue piétonne. Un corbeau passe dans le ciel, puis nous entrons dans un bâtiment, par une porte ouverte au hasard. L'intérieur de cette demeure semble être mis en scène. Tout est minuscule par rapport à nous, si bien qu'on se croiraient  entrés dans une maison de poupée. Pourtant, les détails trop minutieux de ces pièces on quelque chose d'inquiétant... Nos pas nous mènent à la cave, éclairée par une lumière jaunie. La tension est lourde. J'essaie de retourner en arrière, mais la porte est verrouillée. Un cyclope sort de la pénombre et nous regarde, de son énorme oeil. Comme d'un seul homme, moi et les autres tirons une flèche du carquois qui vient d'apparaître sur notre dos et tirons une flèche dans l'oeil du monstre. La bête s'efface en une pluie de poussière dorée. Une porte se trouve au fond de la cave, nous l'empruntons et nous retrouvons dans une rue piétonne. Cette même rue piétonne. Un corbeau passe dans le ciel, nous entrons dans un bâtiment, par une autre porte, choisie au hasard. Replay. •
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#Posté le dimanche 29 mai 2011 09:33

Modifié le mardi 23 août 2016 07:33

Dream Number One.

Dream Number One.

♪

» Paumée, j'étais plantée là, immobile au milieu de ce labyrinthe que forment les couloirs du métro. Quel direction choisir ? Trop de propositions s'offraient à moi. Puis cette alarme. Toutes les ampoules qui éclairaient l'intersection où je me trouvais s'éteignirent subitement pour laisser clignoter une violente lumière rouge. Je me vis courir. La panique envahissait mon corps. Peu à peu les couloirs se remplir de personnes courant au hasard dans ce dédale de chemins. Et là, au summum de la panique, cul de sac. Cul de sac, mais pourtant une porte.  Je l'ouvre. La lumière éclatante qui inonde l'immense pièce blanche devant laquelle je me tient m'éblouis les yeux. Je me cache le visage pour que mes yeux s'accommodent doucement à ce changement brutal de luminosité.  J'ôte mes mains de mon visage. La porte s'est refermée et a disparue pendant ce court laps de temps. Tant pis, je dois faire face aux personnes qui viennent d'apparaître devant moi. Faire face à ces humains aux airs de savant fous, leur longue seringue à la main. Faire face à ces sauvages, qui, comme d'un seul homme, se jettent sur moi. J'esquive. Je leur échappe,  je cours, je fuis, je me bas. Mais pas pour longtemps, car ils sont trop. Ils m'encerclent et me laisse prise au piège dans la ronde sinistre qu'ils forment. L'un d'entre eux me pique à l'aide de sa seringue. Je ne sens rien, mais ma vue se trouble d'un coup. Je suis faible, je me sens tomber. Tout ce que je peux voir est cette seringue remplie d'un liquide vert, bleu et rouge. Mon sang. Plusieurs savant fous se mettent à me porter. Ils m'emmènent vers une table, m'installent sur une chaise. Je suis face à une femme que je ne vois presque pas. Ma vue défaille mais mon ouï est toujours opérationnelle : « J'ai ton sang. pour moi ! ». Elle rit. Je suis aveugle. Dans mon cerveau se projette l'image d'une femme s'injectant mon sang dans le coup. •
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#Posté le vendredi 06 mai 2011 07:37

Modifié le mardi 23 août 2016 07:33

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